....la suite, et la fin.

Alors là, c'est bien simple, il faut carrément remonter aux temps de la préhistoire: à l'instar de leurs collègues mamouths, les cochons étaient eux aussi couvert de poils tout partout.
Le réchauffement du climat aidant, au fil des siècles les poils sont peu à peu tombés mais l'expression, elle, est restée.

 
Bien avant les vikings, plusieures colonies de cochons partirent à l'aventure vers le grand nord. Ils tentèrent de s'acclimater en imitant laborieusement le mode de vie de petits palmipèdes croisés sur la banquise. Hélas, les smokings de location coutaient horriblement cher. Et je ne parle meme pas du ridicule des becs et palmes-postiches...
De toutes façon, incapables de chasser correctement le hareng, ou de combattre les ours polaire à main nue, ils clamsèrent tous assez vite et on entendit plus jamais parler des Pigouins.

 
Eeeeet oui, qui l'eu cru? Voilà donc l'ancetre de notre actuel jeu de tennis de table. Malheureusement comme vous pouvez le constater sur l'image, à l'époque le gabarit des raquettes n'était pas encore bien standardisé ce que fait que le match était généralement plié fissa en 5 sets à zéro.
Il fallu attendre qu'un touriste asiatique passe fortuitement dans le coin, pique l'idée et l'améliore pour que le jeu fasse enfin fureur

La profession de pigiatre apparut dans la proche banlieue de Vienne en Autriche bien longtemps avant que le petit Sigmund F. ne se débarrasse de ses couches culotte.
Mais l'exploration du subconscient cochon s'avéra très décevante: quand on ne pense qu'à bouffer, faire caca et dormir il ne faut pas ensuite s'étonner que la thérapie ne dépasse pas la première scéance. La pigiatrie périclita donc, jusqu'a ce que Sigmund reprenne enfin les choses en main.

 

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